
Le groupe de travail des Nations unies a estimé que les « privations de liberté de Mohamed Bazoum et de Hadiza Bazoum sont arbitraires ».
Les avocats de l’ancien président nigérien renversé fin juillet 2023 ont de nouveau appelé, lundi, à la libération de leur client, rapporte la Deutsche Welle.
Selon les Nations unies, les autorités nigérianes accusent Mohamed Bazoum d’avoir échangé au téléphone avec des « forces obscurantistes ennemies du Niger pour commanditer une attaque avec l’aide des puissances étrangères », des actes « assimilés aux complots et attentats contre la sûreté de l’Etat, et intelligence avec des puissances étrangères ».
L’immunité présidentielle de M. Bazoum a été levée en juin dernier 2024. Mais aucune date n’a encore été fixée pour son procès.