Burkina Yawana

Le Président du Faso n’est pas passé par quatre chemins pour s’attaquer à l’impérialisme et au néocolonialisme. Aux détracteurs de la Révolution, le Capitaine Ibrahim Traoré leur dit « merci » car, dit-il, « leur haine nous permet de continuer le combat. » 

Il a assuré que le combat contre l’impérialisme se mènera « tous les jours que Dieu fera. »

« Il faut que nous allions vite et bien parce que tout le monde nous regarde, le monde entier regarde le Burkina Faso, les africains regardent le Burkina Faso qui a dessiné un modèle et il faut que ce modèle puisse inspirer d’autres peuples à rejoindre le combat de la Révolution pour que l’Afrique soit libre, digne et prospère », a déclaré le chef de l’État, à la veille de la fête de l’indépendance lors de son adresse aux burkinabè.

Le Président Traoré a salué les soutiens de la Révolution. « La majorité écrasante des peuples qui nous soutiennent prie que nous réussissons.

Nous les remercions et nous leur disons de continuer à nous soutenir. Ce combat ce n’est pas seulement pour le Burkina mais c’est pour tout le peuple noir », a-t-il dit. 

Cependant, il n’a pas manqué de s’attaquer aux détracteurs de la Révolution enclenchée. « Cette minorité qui est encore perdue, égarée ou ces populations qui n’ont pas encore compris qui continuent à prier pour que nous échouons, nous leur disons merci parce que leur haine nous permet de continuer le combat », a affirmé le Président du Faso. 

Le chef de l’Etat a assuré air le combat contre l’impérialisme, le néocolonialisme et toutes ses manifestations va se mener « tous les jours que Dieu fera. »

« Nous ne baisserons pas les bras, nous continuerons sur notre lancée », assure-t-il.

« La souveraineté, l’indépendance, la liberté que nous voulons pour vivre en paix au Burkina Faso c’est tout cela (…) Le Burkina Faso doit être un modèle pour inspirer d’autres peuples », a dit le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso.